De nombreux ventilateurs de l’hôpital sont situés dans des zones restreintes, inaccessibles pendant les heures de fonctionnement normales. Cela rendait difficile pour les techniciens d’accéder aux équipements pour effectuer des mesures de vibration, essentielles pour détecter les signes précurseurs de problèmes mécaniques. L’isolement des équipements et l’impossibilité d’intervenir pendant la journée ont entraîné des défis pour maintenir un suivi régulier et fiable des données vibratoires. Il était donc crucial d’assurer une surveillance sans perturber les opérations quotidiennes de l’hôpital.
LM a proposé l’installation de capteurs de vibration permanents directement sur les structures des moteurs. Ces capteurs permettent de collecter des données de vibration, depuis l’extérieur des zones confinées. Un câble de connexion est acheminé vers une boîte de branchement externe, permettant aux techniciens d’effectuer des lectures de vibration pendant les heures de jour, optimisant ainsi la maintenance préventive. Cette solution a permis d’assurer un suivi régulier d’équipements critiques sans avoir à interrompre les activités de l’hôpital ou à accéder physiquement aux zones difficiles d’accès. L’équipe de LM se rend sur place mensuellement afin de prendre la collecte des données ainsi que la réalisation de travaux de maintenance demandés par le client, tel que le remplacement de moteur, l’équilibrage de ventilateurs et autres travaux demandés.
Grâce à l’intégration de ces capteurs, l’hôpital bénéficie désormais d’une surveillance de qualité, sans nécessiter d’interventions invasives. Les données recueillies permettent une évaluation précise de la santé des équipements, classant les anomalies selon leur gravité (normal, peu sévère, modéré, sévère et critique). Cela permet à l’hôpital de planifier les interventions de maintenance de manière proactive, réduisant les risques de défaillance imprévue et assurant un fonctionnement optimal des équipements. La décision de réduire la collecte des déchets aux heures régulières en semaine, plutôt que le soir ou le week-end avec des heures supplémentaires, a entraîné une nette diminution des coûts d’exploitation de l’hôpital.